Dans le cadre d’un recours pour vice caché de l’acheteur d’un immeuble contre le vendeur sur la base de la garantie de qualité, est-ce qu’il faut considérer la dépréciation due à l’état de vieillissement de l’immeuble ?
La Cour supérieure a décidé dans ce jugement que le vendeur est responsable envers l’acheteur à la fois sur la base de la garantie de qualité pour les vices cachés et aussi pour dol vu qu’il a camouflé les vices et omis d’informer l’acheteur des informations pertinentes à sa connaissance concernant l’état de l’immeuble et l’a induit en erreur….